Société Royale " Les Echos de la Vallée de la Hoëgne "

Association Sans But Lucratif

Solwaster

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Renovation toit
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L’union fait la force !

Telle est la devise de la Belgique. Telle fut également la devise de notre village durant plusieurs journées entières à partir du 16 juillet 2005.

 C’est en janvier 1949 que le Comité des «Echos de la vallée de la Hoëgne» a décidé la construction de la salle du village.

 Elle a presque été entièrement construite par des gens du village. Julien Bertholet et Maurice Pauly, des maçons de Sart ont également participé à cette réalisation. Elle a ensuite été inaugurée officiellement le 18 septembre 1949.

 Depuis plusieurs années, le Comité de la Société Royale « Les Echos de la Vallée de la Hoëgne » Association Sans But Lucratif, a comme projet la réfection du toit de la salle (enlèvement des tôles d’éternit, placement de nouveaux chevrons, pose de tuiles etc.). Ces travaux viennent d’être réalisés par une vingtaine d’hommes du village inter-génération (et quelques dames restées au sol, pour l’intendance), membres ou non du comité.

 Agir ensemble pour un projet commun, n’est-ce pas là un bel idéal ?

 Nous avons donc vu à l’ouvrage une équipe soudée, très très efficace, sous un soleil de plomb … De main de maître, ils ont manié clark, tronçonneuse, marteaux, clous, chevrons, tuiles etc.

Avec une bonne humeur amicale, ils ont été les rois du village pendant quelques jours. Avec majesté, ils ont défait et refait cette ancienne toiture.  

UN TRES GRAND MERCI A TOUS CEUX QUI ONT PARTICIPE DE PRES OU DE LOIN A CETTE TRES BELLE REALISATION; UNE TRES BELLE OEUVRE COMMUNE.

 Nous nous en souviendrons encore longtemps.

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 J’ai rencontré José Maréchal, un aîné qui a notamment participé à la construction de la salle, et qui se souvient.

 Avant il fallait plus de temps pour accomplir le travail. II fallait de « l’huile de bras ».

Nous n’avions pas le même matériel qu’aujourd’hui. Par exemple pour faire les fondations de salle, le travail se réalisait à l’aide d’une pioche, d’un tombereau et d’un cheval.

 L’esprit spontané était le même. Chaque fois que nous avions du temps libre, nous allions donner un coup de main.

 Dans le passé, le travail était aussi accompli bénévolement pour la communauté villageoise.

Texte et photos de Gilberte FRANSOLET